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Le nouveau site d'étude sur la Sindone: un fait de raison, pas de foi

MESSAGE CHIFFRÉ POUR L'HOMME DE 2000?

de Antonio Bonelli

Le conflit entre croyance et science, et entre foi et raison,
il s'agit d'une des tromperie le plus étonnant de l'histoire de l'humanité.

Sommaire


Qui est l'homme représenté sur le Saint Suaire?

La réponse la plus évidente serait - j'utilise le conditionnel -: Jésus Christ. C'est parce que les traces de la Passion semblant correspondre parfaitement à la Passion du Calvaire. La flagellation (avec toutes les preuves faite par un flagellum taxillatum), la couronne d'épines, la blessures au thorax et le manquée crurifragium(13) rendent en tous points atypique et certainement unique le procédé de la crucifixion romaine. S'il est vrai que l'hypothèse christique ne pourra jamais être "démontrée" de façon positive, depuis les Écritures ne nous fournissant pas d'éléments d'identification - aujourd'hui, nous appellerions d'une photo d'identité - de Jésus Christ, sa crédibilité devrait s'appuyer sur l'infime probabilité d'une autre hypothèse. Et alors laissons parler les chiffres.

Le premier à avoir mis la question en chiffre est le français Yves Delage (voir Baima Bollone Sindone o no, Saint Suaire ou non), un déclarées et connues agnostique professeur en biologie et anatomie comparative de la Sorbonne. Celui-ci, ayant relevé des concordances entre la Passion du Christ comme elle est décrite dans les évangiles et représentée sur la photo de Pia représentant l'homme du Saint Suaire, avec celle classique infligée par les romains, donnant à chacune d'elles une valeur de preuve calculée avec un gros défaut et multipliant entre elles toutes les valeurs comme ce type d'enquête exige, il arriva à la conclusion qu'il existe une seule possibilité sur dix milliards que l'effigie de Turin ne soit pas celle du Christ deposé. Pour l'anecdote, lorsqu'il exposa ses conclusions à l'Académie des Sciences en France, les "Immortali" en felouque se sentirent outragés et refusèrent d'enregistrer dans les actes le rapport. En 1972, un autre français, l'ingénieur, Paul de Gail (en Donovan) repris les calculs et arriva à la conclusion que la probabilité était de une sur 225 milliard. En 1978, après un énième tentative des américains du STURP Stevenson et Haberman, la probabilité descendit à une contre 83 milliards. Mais personne n'avait tenu compte des variables de la pièce de monnaie.

Ce fut le susmentionné Filas (cité en Stevenson e Habermas) a réalisé une étude statistique basée sur les congruences des divers éléments composants la pièce de monnaie du Saint Suaire - dimension, contours, rapports réciproques du dessin, positions angulaires - avec ceux d'une lituus erronée. L'étude a révélé qu'il y avait une seule probabilité sur l'infini pour que les coïncidences rencontrées aient été le fruit du hasard...

Pour Donovan, la probabilité était une sur 282 millions.

Maintenant, est juste une seule chance contraire sur des milliards (mais aussi "seule" des millions) en faveur pour invalider une hypothèse? Absolument pas!


Notes

(13) Les jambes étaient cassées pour les empêcher les mourants de se tenir debout. Ainsi l'agonie était abrégé et la mort intervenait par épuisement et asphyxie. L'évangile selon Jean (19,31-33) écrit que les deux hommes crucifiés aux côtés de Jésus subirent le crurifragium. Ce ne fut pas le cas pour le Christ, qui fut lui retrouvé mort par les soldats envoyés au Calvaire pour faire ce travail.